Suite: en fait la première association réquisitionnée a refusé de prendre en charge le chat. L'ayant appris incidemment, j'ai du téléphoner alors qu'il était pourtant convenu un retour. La bouche du chat n'a pas été explorée comme demandé puisque qu'une nouvelle crise, possiblement une dent ou plus le faisant souffrir et occasionnant à nouveau des auto-griffures sur le museau, a eu lieu et le pauvre animal se retrouve ensuite exsangue et quelque peu prostré. Quand on pense que le bon détenteur l'a laissé errer dans cet état là sans aucune culpabilité et encore moins de remords, étant pourtant au courant. L'interlocuteur vétérinaire indique qu' "ils s'en fichent". On sait ce qu'on peut leur souhaiter. Une chose est sure, la mastication peut occasionner de violentes douleurs déclenchant grognements et contorsions spectaculaires. Puis il bave, signe totalement anormal. On attend alors lundi avec impatience. Voilà la lamentable condition animale dans ce pays décérébré, décivilisé, à croire que la populace concernée a les dirigeants à son image. Voir début de bave à droite. Ce qui explique en tout cas les accès ultérieurs de prostration puis un appétit décuplé quand cela semble mieux aller.
Teaming Manager
el 14/06/2025 a las 18:32h